Le petit homme :  

film de Sudabeh Mortezai-sortie en salle le 25 mars 2015
Compétition festival de Berlin, Prix CICAE, festival de Sarajevo 2014

A l’arrivée dans un pays inconnu, que ressent un réfugié de onze ans, chassé de sa terre natale par la guerre, orphelin de père et soutien de famille ? Comment un jeune migrant vit-il de l’intérieur sa supposée intégration dans une société dont il ignore les codes ? Sudabeth Mortezai, jeune documentariste autrichienne d’origine iranienne, aborde son premier film de fiction en connaissance de cause : elle parvient, sans peine, à se mettre dans la peau de Ramasan, enfant tchétchène, victime du conflit avec la Russie qui a coûté la vie à son père. Sans misérabilisme, la cinéaste choisit de placer sa caméra à la hauteur du ‘petit homme’ et de l’accompagner simplement dans l’épreuve. Construit comme un ‘thriller’ au suspense prenant, la fiction nous tient en haleine : notre héros résistera-t-il à la tentation du mal et parviendra-t-il à trouver une place dans son ‘pays d’accueil’ ?

Source : Café pédagogique
 

 

► Garantie jeunes : la moitié des jeunes en emploi ou formation après 1 an de suivi 

La garantie jeunes, nouveau dispositif d’accompagnement des jeunes décrocheurs, augmente leurs chances de trouver un emploi ou une formation, selon un projet d’avis du Conseil économique, social et environnemental (Cese).
Lire l’article

Source : Par L’Express.fr avec AFP, publié le

 

 

► Citoyenneté : Une autre école pour plus de 15 000 décrocheurs

Dix ans après la création de leur réseau, les écoles de la deuxième chance vont passer le cap des 15 000 jeunes inscrits. Proches des chambres de commerce et d’industrie, les écoles de la deuxième chance (E2C) se voient comme "un complément aux efforts de l’enseignement initial sur les décrocheurs et un outil des politiques publiques pour les emplois de demain". C’est une formulation polie pour des structures où l’éducation nationale ne jouit souvent pas d’un préjugé favorable…
Lire la suite – Café pédagogique le 16 avril 2015

 

 

L’apprentissage : comment ça marche ?

Apprenti : avant tout un salarié
A bien des égards, un apprenti est un salarié comme les autres : il signe un contrat de travail, dispose de congés payés et bien entendu, il partage les devoirs des salariés envers l’entreprise. Cependant, n’oubliez pas que la plupart du temps, il s’agit pour lui d’une première expérience professionnelle. L’entreprise est pour lui un lieu de formation. En arrivant, il ne connaîtra pas forcément les codes de l’entreprise : expliquez-lui votre fonctionnement, il pourra ainsi s’adapter rapidement. Voir la vidéo

 

Entre École et Mission locale – Parcours de jeunes – MRIE

Les chiffres clés des missions locales de Rhône-Alpes en 2010 soulignaient qu’un peu plus du tiers des jeunes décrocheurs mettaient en moyenne 31 mois et plus pour s’inscrire en Mission locale. Pour les professionnels, cet temps qu’ils ont pu qualifier "d’errance" était une sorte de "trou noir" qu’ils étaient désireux  d’éclairer afin de mieux adapter leur action… Les premiers résultats d’une étude menée par la MRIE et les missions locales (et arrêtée faute de financement) ont montré qu’il se passait « des choses » dans ce temps. Plusieurs structures (ARML, CEREQ, MRIE, ODENORE, PRAO1) ont alors ré-engagé cette étude, avec le soutien de la Région Rhône-Alpes….
lire l’article du mois
lire l’étude
source : la lettre de la MRIE (mission-regionale-information-exclusion Rhône-Alpes) n°39 avril 2015