Les événements avec le CRI Auvergne dans le cadre des Journées Nationales d'Action contre l'illettrisme
Programme global
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François Lamy, le ministre délégué à la Ville, a levé le voile sur la nouvelle méthodologie qui permettra de cibler les crédits de la politique de la ville en fonction des revenus de la population. Des quartiers dits “prioritaires” seront listés.
Contrats urbains de cohésion sociale (Cucs), zones urbaines sensibles (ZUS), et autres zones franches urbaines (ZFU) : tous ces zonages aux acronymes obscurs ont vécu. Ils vont bientôt disparaître pour ne laisser place qu’à une seule notion, celle de “quartier prioritaire”. Ainsi en a décidé le ministre délégué à la Ville, François Lamy, qui n’a eu de cesse depuis son entrée en fonction de critiquer un système, qui a conduit, comme il l’a encore rappelé le 10 juin en conférence de presse, à la “dilution” et au “saupoudrage” des moyens. Plus de 2 400 quartiers, contre seulement 77 dans les années 1970, se partagent environ 500 millions d’euros de crédits, sans que leur périmètre ait été révisé depuis vingt ans. “Cela n’est pas acceptable pour une politique de solidarité nationale”, a martelé le ministre, qui veut y substituer un système plus lisible et plus efficace, ciblé autour d’un millier de quartiers, dont une dizaine de “très prioritaires”…
La réforme avait déjà été envisagée en 2009, mais le gouvernement de François Fillon avait dû reculer face à la fronde des élus locaux qui ne voulaient pas perdre leurs précieux subsides. François Lamy l’a déploré, soulignant que “la politique de la ville aurait pu gagner quatre ans”. Lire la suite
Site : Acteurs Publics, par Xavier Sidaner le 10 juin 2013
Avec Carine Seiler, Directrice du Pôle Politiques de formation du cabinet Sémaphores.
Depuis un peu plus de vingt ans, la procédure « concurrentielle » de l’appel d’offre a complètement envahi le champ de la formation professionnelle en France.
Un conseil régional, une grande entreprise choisissent leurs prestataires de formation les « mieux disant », sur la base des réponses aux appels d’offres qu’ils rédigent.
Cela paraît maintenant tellement une évidence, que l’on a du mal à imaginer que pendant des décennies il en a été tout autrement.
Comme l’on a du mal à imaginer que l’équipe du Cuces de Bertrand Schwartz dans la Lorraine des années 1960 aurait pu développer le quart des innovations qui ont été les siennes dans le bassin houiller en répondant à des « appels d’offres ».
À l’époque, le travail de ceux qui intervenaient en matière de formation était d’abord de comprendre quelles étaient les difficultés à résoudre. Comme pouvait le faire un consultant sérieux avec son client. Difficultés qui, éventuellement, pouvaient appeler une réponse « formation ». Lire la suite
Le CAVILAM - Alliance Française présente, en partenariat avec le Centre de Ressources Illettrisme Auvergne (CRI), une projection du film "Les petites Victoires", dans le cadre des JNAI. Cette projection est suivie d'un débat en…
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